Un jour, j’ai demandé à Cheikh al-Islam Ibn Taymiyya, qu’Allah lui fasse miséricorde : « Certains savants ont été interrogés : qu’est-ce qui est le plus utile pour le serviteur, la glorification ou la demande de pardon ? » 

Ils ont répondu : « Si le vêtement est propre, l’encens et l’eau de rose lui sont plus bénéfiques. Mais s’il est sale, le savon et l’eau chaude lui sont plus utiles. » 

Alors, il m’a dit, qu’Allah lui fasse miséricorde : « Et que dire lorsque les vêtements ne cessent d’être sales ? » » (p. 233)

Série des bienfaits tirés des livres d’Ibn al-Qayyim : Al-Wâbil al-Sayyib min al-Kalim al-Tayyib