Par le Cheikh : Moustafa Al-Adawi
Avec l’augmentation des interactions entre musulmans et non-musulmans, les coutumes des infidèles se sont infiltrées dans nos foyers par le biais des médias corrompus dirigés par les juifs, leurs partisans, et ceux qui suivent leur voie. Cela a rendu les péchés et les grandes transgressions plus accessibles, nous les commettons avec légèreté, influencés par les vagues de criminalité provenant des pays infidèles. Ces coutumes et traditions se répandent peu à peu dans nos maisons et nos vies sans que nous nous en rendions compte.
Par exemple, il y a un grave péché que le Prophète Mohammed (paix et bénédictions sur lui) n’a jamais vu mais qui est désormais courant parmi nos filles. Le Prophète a dit : « Deux catégories de ma communauté iront en enfer et je ne les ai pas encore vues : des femmes habillées mais nues, inclinées et inclinant les autres, avec des têtes semblables à des bosses de chameaux inclinées. Elles n’entreront pas au paradis et n’en sentiront pas l’odeur, bien que son odeur soit perceptible à une distance de telle et telle (distance). »
Ce groupe de femmes qui se promènent dans les rues, dans une condition pire que celle des esclaves d’autrefois, est composé de jeunes filles qui s’habillent de manière provocante, portant des vêtements courts, laissant leurs cheveux et leurs jambes visibles, et portant les parfums les plus attrayants. Le Prophète, paix et bénédictions sur lui, a décrit ces femmes comme n’entrant pas au paradis et ne sentant même pas son parfum.
Nous voyons ce phénomène aujourd’hui, et beaucoup parmi nous l’acceptent ! Les pères et les frères de ces filles ne semblent plus se soucier de l’honneur familial, permettant à leurs filles et sœurs de sortir dans cet état déshonorant. Cela montre un manque de jalousie protectrice, considéré comme une grande faute en islam, et un signe de dépravation.
Ces grands péchés ont des conséquences sévères, comme mentionné dans divers hadiths et versets du Coran, et il est de notre devoir de les éviter et de conseiller nos proches contre de telles pratiques.