Ibn taymiya réplique aux madaakhila et aux fous de la mise en garde
Source = majmouh al fataawa
Si une personne combine à la fois du bien et du mal, de la débauche et de l’obéissance, de la sunnah et de l’innovation, elle mérite d’être soutenue et récompensée en proportion du bien qu’elle contient, et elle mérite d’être opposée et punie en proportion du mal qu’elle contient.
Il peut donc y avoir en une seule personne des raisons de l’honorer et de la mépriser, et elle reçoit alors des traitements correspondant à ces deux aspects. C’est comme le cas d’un voleur pauvre : on lui coupe la main pour son vol, mais on lui donne également de quoi subvenir à ses besoins depuis le trésor public.
C’est le principe fondamental sur lequel les gens de la Sunnah et de la communauté (Ahl al-Sunnah wa al-Jama’ah) sont unanimes.